Je t’aime pareil, l’émission de l’été sur France Inter, chaque samedi entre 21h et 22h
présentation :
Où en est réellement la société française vis-à-vis de l’homosexualité aujourd’hui ? Ces dernières années ont été marquées par l’arrivée du PACS. Mais contrairement à d’autres pays parfois très proches de nous, les homosexuels sont-ils vraiment acceptés ? L’idée de cette série d’émissions de radio est de faire un état des lieux de la situation. En quoi les moeurs ont-elles changé et qu’est-ce qui bloque encore ? Quand des pays comme le Portugal autorisent le mariage gay ou l’insémination et l’adoption pour les couples homosexuels en Belgique, pourquoi la France se braque-t-elle en refusant de franchir le pas ?
Les témoignages de personnes concernées, qu’elles vivent en France ou à l’étranger, aideront à dresser un bilan.
aux micros, aux manettes…
Producteur / Productrice : Harry Eliezer et Marjolaine Koch
Réalisation : Xavier Aular et Alexandre Fougeron
Attaché(e)(s) de production : Pierre Glemet
samedi 26 juin 2010
Le jour où j’ai su
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invités
de la première émission ayant pour titre « Le jour où je l’ai su » :
Jean- Gabriel / Oriane / Isabelle
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Nicolas Bourgeois
Président de l’association le M.A.G. (Mouvement d’affirmation des jeunes gay lesbiennes, bi et trans).
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programmation musicale
> Jean-Louis Murat : Le cri du papillon
(2002)
> Sarah Blasko : All I want
(dramatico . 2010)
> Florent Marchet : Benjamin
(2010)
L’EUROPE ENTIÈRE S’APPRÊTE À CÉLÉBRER LA GAY PRIDE.
UNE VINGTAINE DE MARCHES SONT ORGANISÉES EN FRANCE, DE LILLE À MARSEILLE. À CETTE OCCASION, YB ÉDITIONS PUBLIE ICONES GAYS, UN OUVRAGE PHOTOS QUI DRESSE UN PORTRAIT DE CES ACTEURS, CHANTEURS, ÉCRIVAINS, RÉALISATEURS, COUTURIERS, PHILOSOPHES, PEINTRES, ATHLÈTES ET AUTRES ‘‘PEOPLE’’, DEVENUS DES ICÔNES POUR LA COMMUNAUTÉ GAY, SANS NÉCESSAIREMENT L’ÊTRE EUX-MÊMES.
Le Magicien d’Oz sort sur les écrans en 1939, dans une Amérique et une Europe puritaines qui sanctionnent toujours l’homosexualité de peines d’emprisonnement. Judy Garland y incarne Dorothy, une héroïne qui prend fait et cause pour tous ceux qui sont différents. Son personnage devient instantanément une icône gay et la question “Are you a friend of Dorothy?” une manière discrète et internationale d’interroger quelqu’un sur son homosexualité.
Mais qu’est ce qu’une icône gay ? Qui le devient ? Qu’incarnent-elles ?
Quel lien existe-t-il entre des personnalités aussi diverses que Madonna, Truman Capote, Dalida, Maria Callas, David Beckham, Diana Spencer, Pedro Almodovar, Britney Spears, Audrey Hepburn, Andy Warhol, Yukio Mishima, Mylène Farmer ou Yves Saint Laurent ? Qu’ont-elles en commun ? Comment expliquer que nombre de ces icônes ne soient pourtant pas gays ?
L’auteur, le journaliste Charles Danna, ouvre un débat passionnant, apporte des éléments de réponse et retient une centaine de personnalités pour illustrer son propos. Un choix qui n’est en rien exhaustif ou limitatif, car la liste des icônes gays est longue, vivante et en perpétuel renouvellement.
Véritable livre objet avec sa reliure argentée, ICONES GAYS paraît en juin 2010 dans le cadre de la GAY PRIDE.
Richement illustré, cet ouvrage se consulte à loisirs. Incontournable pour qui s’interesse à la culture LGBT (car je confirme qu’il existe bien une culture gay et lesbienne !). Si vous êtes un hétéro openmind et avez un ou une amie homo, alors voici l’occasion rêvée en lui offrant ce superbe objet de dire combien l’amitié est la plus forte et qu’elle va bien au-delà des préférences sexuelles des un(e)s comme des autres…
ICON GAY de CHARLES DANNA est édité par YB ÉDITIONS, format 26x26cm, 200 pages, 100 photographies couleurs, 39€.
ATTENTION : Bien que ce ne soit pas notre intention, cette page est illustrée de photos qui peuvent choquer les âmes sensibles ! Dans ce cas, veuillez ne pas continuer… Sinon, vous devez prendre cette page pour ce qu’elle est : de l’information afin de vous aider à vous protéger des IST !!
La terminologie de « maladies sexuellement transmissibles » (MST) étant impropre, on préfère actuellement le terme « d’infections sexuellement transmissibles » (IST). En effet un certain nombre de ces infections ne sont pas, à proprement parler, des maladies. Vous rencontrerez donc, dans les médias (et ici), de plus en plus cette nouvelle abréviation IST à la place de MST.
Les infections sexuellement transmissibles se définissent comme des infections pouvant se transmettre au cours des rapports sexuels. Il faut noter que certaines de ces infections ne sont pas exclusivement sexuellement transmissibles. Les poux de pubis (communément appelés Morpions) entrent donc dans cette catégorie..
NOM
SYMPTOMES
MODES DE TRANSMISSION
DIAGNOSTIC
La pédiculose pubienne
Les morpions (ou poux pubiens ou encore Phtirius pubis) sont des poux colonisant les poils sexuels.
Les poux pubiens s’accrochent aux poils sexuels grâce à leurs pattes aux larges griffes. Ils ont besoin chaleur, d’une certaines humidité et gros poils pour pouvoir s’accrocher ce qui explique les pils publiens.
Avoir des morpions n’est pas synonyme de crasse !
Comment les repère-t-on ? Ils ressemblent à une sorte de grain de beauté accompagné de deux plus petits de chaque côté – Aidez-vous d’une loupe au besoin.
par voie sexuelle
Par auto inspection (voir ci-dessous) ou avec l’aide d’un médecin.
– Cela gratte au niveau du pubis, voire jusqu’à l’anus.
– des rougeurs ou des petites peaux là où cela démange.
– On peut ressentir des petites piqûres.
– ça trottine dans les poils, ou que ça chatouille…
– Ont trouve des petites particules noirâtres dans le slip (les crottes de morpions !)
– On observe comme des petites pellicules à la base ou le long des poils (ce sont les lentes, les oeufs de morpions)
Comment repérer le morpion ?
Le morpion ressemble à un petit grain de beauté plaqué sur la peau mais à ceci près que ce grain de beauté (le corps de l’animal) est accompagné de deux autres plus petits (ses pattes et ses griffes) de chaque côté (voir ci-dessous). Au besoin, aidez-vous d’une loupe ! Une fois qu’on les a repéré, croyez-moi, vous saurez les repérer par la suite.
On ne peut les éliminer en se grattant : le morpion s’accroche à votre peau grâce à ses griffes (ou pinces) puissantes. Une pince à épiler peut éventuellement le déloger. Un bain prolongé les noit mais il n’élimine pas les lentes (leurs œufs) qui sont solidement collés aux poils pubiens. Seul un produit de type « Spray-Pax » en vennait à bout accompagné d’un passage de vos poils au peigne très fin !! Attention, ces produits ayant une date de « consommation » très limitée, un grand nombre de pharmacie ne les ont pas en stock. Il semble même qu ce produit ne soi plus disponible à la vente.
Enfin, ne lésinez pas sur le traitement de votre lingerie ainsi que celui de votre litterie sinon, vous êtes bons pour tout recommencer !
Le morpion vu au microscope (ci-dessous) :
Comment s’en débarraser ?
– Acheter en pharmacie un spray anti poux du pubis (genre « SprayPax » mais ce dernier est désormais indisponible à la vente) ou anti-poux (moins cher). Un seul traitement suffit en général à condition de ne pas lésiner sur l’étendue à traiter (toutes les parties velues avoisinantes), et de bien l’appliquer dans tous les recoins.
– Utiliser un peigne pour éliminer les lentes !
– Acheter un produit anti-poux en spray puis traiter toute ta literie et les sous-vêtements.
– Le rasage total n’évite pas le traitement. En effet les lentes sont souvent à la base du poils, votre lingerie et/ou et la literie peut être infectée..
En savoir + :Guide des vaccinations 2006, disponible sur www.sante.gouv.fr. rubrique vaccinations.Calendrier vaccinai 2006» et «Santé des voyageurs et recommandations sanitaires 2006», disponibles sur www.invs.sante.fr à la rubrique BEH.Conseils du ministère des Affaires étrangères aux voyageurs et coordonnées des centres spéàalisés de vaccination internationale sur www.diplomatie.gouv.frSida Infa Service: 0800 840 800 (7jl7, 24h/24) appel gratuit. Depuis l’étranger, appelez le 00 33155251353 (appel payant).Toutes les adresses des centres de dépistage et des brochures d’info sont disponibles sur www.sida-info-service.org Les modes d’emploi des préservatifs féminins et masculins sont à télécharger sur www.inpes.sante.fr Le dépliant «VIH/sida: et si j’ai pris un risque ? Le traitement d’urgence», est disponible sur www.aides.org Également disponible dans les comités Aides,la brochure intitulée «Ha rd safer se» » sur les risques des pratiques hard et sado-maso entre hommes.
ATTENTION : Cette page est illustrée de photos qui peuvent choquer les âmes sensibles ! Loin de nous cette intention : notre but est la prévention des IST. Si votre sensibilité devait être atteinte, dans ce cas, veuillez ne pas continuer…
Comment installer un préservatif
J’ai trop souvent vu mes partenaire se drébrouiller comme des ânes avec les capotes que je me suis dit un jour : il serait bon qu’un mode d’emploi, digne de ce nom, loin de tout tabou hypocrite soit enfin disponible au plus jeunes comme au reste des utilisateurs de ce type de protection.
De même que beaucoup d’entre vous semble subir un trouble de l’érection dès qu’on leur parle d’enfiler ce petit bout de latex ! Pour certains, il semble que ce soit carrément Waterloo ! C’est dans la tête que tout se passe. Faîtes de ce stade du cheminement sexuel un jeu ! Amusez-vous avec votre partenaire.. dîtes-lui de le poser de façon sensuelle.. bref, amusez-vous du fait de chausser la capote !
Voici un tuto plutôt sympa qui pourrait vous aider … :
MODE D’EMPLOI DU CONDOM
Mise en place du préservatif sur le pénis
Le préservatif doit etre mis en place quand le pénis est en érection, avant tout contact entre le pénis et le corps de votre partenaire. Ouvrez délicatement l’emballage individuel pour éviter d’endommager le condom.NE JAMAIS UTILISER vs DENTS pour déchirer l’emballage ! Vous risqueriez de percer la capote !!!Vérifiez toujours que la partie à dérouler se trouve à l’extérieur.
Placez le préservatif sur le pénis en érection avant toute pénétration.
Pincez l’extrémité du réservoir afin d’en chasser l’air (un excès d’air emprisonné dans le préservatif pouvant causer sa déchirure).
Déroulez-le en maintenant le réservoir. Serrez le bout du préservatif entre le pouce et l’index pour chasser l’air.
En serrant toujours le bout du préservatif, utilisez l’autre main pour le dérouler le long du pénis.
Dès la fin du rapport (éjaculation) et avant la fin de l’érection, se retirer en maintenant le préservatif à sa base. Retirez-vous immédiatement après l’éjaculation en maintenant le préservatif à la base du pénis. Attendre de s’être complètement retiré avant d’enlever le préservatif. Eviter tout contact du pénis et du condom avec le corps du partenaire.
Jeter le préservatif usagé à la poubelle (et non dans les toilettes), après l’avoir noué et enveloppé dans un papier. Ne jamais réutiliser le préservatif. Pour chaque rapport, en utiliser un nouveau. N’utilisez un préservatif qu’une seule fois, même à l’occasion de rapports successifs avec le même partenaire.
La capote est-elle fiable ?
Attention, le préservatif n’est pas efficace à 100% car il peut notamment se déchirer ou glisser. Suivez donc bien les conseils ci-dessus apprendre à le poser et ceux ci-après pour pour un maximum de protection.
Utilisez impérativement un préservatif conforme à la norme européenne EN 600 et revetu du label CE. Pour un gage de qualité supplémentaire, préférez un condom également conforme à la Marque NF (norme francaise).
Conservez toujours vos condoms dans leur emballage individuel d’origine.
Stockez vos préservatifs dans un endroit frais et sec, à l’abri de la lumière directe du soleil.
Lisez attentivement les instructions figurant sur la notice d’utilisation (ouverture, pose, retrait).
N’utilisez jamais un préservatif dont la date de péremption serait dépassée.
Évitez une mise en place avec des ongles cassés, des bagues afin de ne pas détériorer le latex.
Ne placez jamais deux préservatifs l’un sur l’autre : le frottement des deux réduit la résistance du latex et accroît les risques de rupture.
Si lors de la pose, le condom ne se déroule pas correctement ou est mis à l’envers, changez-le.
Consultez votre médecin ou votre pharmacien concernant la compatibilité des préservatifs avec les remèdes prescrits ou en vente libre, destinés à être appliqués sur le pénis ou à l’intérieur du vagin, car ils peuvent endommager le préservatif.
Utilisez toujours un gel ou un lubrifiant à base d’eau ou à base de silicone : les autres produits notamment la vaseline, les corps gras ou les antiseptiques ne sont pas compatibles avec le latex.
Les préservatifs en latex constituent donc une bonne barrière de protection contre le contact avec les fluides qui transmettent ces IST (sperme, sécrétions vaginales, pertes etc.). Mais, dans la pratique, les préservatifs ne sont pas efficaces à 100% parce qu’ils ne sont pas utilisés de façon régulière ou correctement.
On le trouve en pharmacie, dans les supermarchés ou dans des distributeurs situés dans les lieux publics. Pour celles et ceux qui sont allergiques au latex, il en existe en polyuréthane. Même si certains sont annoncés comme lubrifiés, il vaut toujours mieux les utiliser avec du gel lubrifiant à base d’eau, également disponible en pharmacie et dans les supermarchés (Tailles et parfums nombreux). Pour vous permettre d’utiliser correctement et efficacement les préservatifs, veuillez suivre et respecter les instructions suivantes :
Bonnes conditions de conservation des préservatifs
Les préservatifs sont à conserver à l’abri de :
la lumière
la chaleur
l’humidité
Nous vous conseillons de vous en procurer dans une pharmacie ou un centre de santé. Evitez les distributeurs de K-Potes situés dans les rues : Les préservatifs y sont soumis aux variations de températures, etc, et donc s’y concervent mal).
Comment reconnaître un bon préservatif
Vérifier que l’emballage est intact
Vérifier la couleur de l’emballage. S’il jaunit, cela signifie que le préservatif est devenu cassant, donc poreux. Les microbes, de même que les spermatozoïdes peuvent passer ;
Vérifier en appuyant doucement sur l’emballage qu’il y a de l’air. Cet air protège le préservatif ;
Vérifier la date. Quelquefois, c’est la date de fabrication qui est inscrit sur l’emballage/Made, Fab (Fabriqué), Manufactured. Parfois, c’est la date de péremption qui est mentionné : per. (péremption), Exp. (Expired).
A éviter !!!!
Conserver le préservatif dans la poche arrière de son pantalon ou au niveau de la boite à gant d’une voiture. Eviter de poser quelque chose de lourd sur le préservatif.
En ouvrant l’emballage du préservatif, éviter de le faire avec les dents ou avec les ongles ce qui déchirerait le préservatif.
N’utilisez surtout pas de lubrifiant à base de corps gras (Vaseline ou autre gel dérivé du pétrole, lotions pour le corps, huiles minérales ou végétales, beurre, margarine, …), qui risque, au pire, d’entraîner la rupture du latex. A mieux du reste, il devient poreux, les microbes, de même que les spermatozoïdes, peuvent passer.
Utiliser pour la seconde fois le préservatif.
Etapes importantes à suivre dans l’usage du préservatif pour ne pas déchirer
1. Vérifiez la date d’expiration
2. Vérifiez que le préservatif n’a pas été laissé pendant longtemps sous le soleil en se gonflant d’air dans l’emballage
3. Ouvrez le sachet au niveau de l’encoche et sortir délicatement le préservatif (attention aux ongles et aux bagues)
4. Rechercher le sens dans le quel se déroule le préservatif
5. chasser l’air en pinçant le bout du préservatif (le réservoir)
6. dérouler le préservatif sur le pénis en érection (ne pas l’écarter ou tirer dessus !)
7. Contact génital/pénétration
8. Ejaculation
9. Retrait du pénis encore en érection. Tenir le préservatif au niveau de la base du sexe avant de se retirer de la partenaire pour empêcher les fuites.
10. Enlever le préservatif du pénis encore en érection
11. Perte d’érection
12. Nouer et jeter le préservatif ou l’enterrer loin des enfants
13. Se laver les mains au savon
GEL LUBRIRANT
Que les choses soient claires, on ne le dira jamais assez ! : On ne doit jamais utiliser de vaseline comme lubrifiant! Car elle rend le préservatif poreux et donc inefficace. Utilisez toujours un gel lubrifiant à base d’eau, vendu en tube ou en flacon dans toutes les pharmacies et les supermarchés. Les préservatifs distribués gratuitement sont souvent accompagnés de gelven dosette. Mais pour une pénétration anale ou vaginale, une dosette suffit rarement, mieux vaut avoir un tube sous la main!
GANTS
Les gants en latex servent à réduire les risques de transmission du VlH, mais aussi du VHC, lors d’une pénétration avec le poing, dite fist-fucking, qu’elle soit vaginale ou anale. Ils sont bien sûr à usage unique et disponibles en pharmade.
PRÉSERVATIF FÉMININ
Le préservatif féminin ou Fémidon est en polyuréthane. Il est destiné aux femmes, mais les hommes peuvent aussi l’utiliser pour la sodomie lors d’un rapport avec un autre homme. Il se trouve dans quelques pharmacie (II faut souvent le commander, mais que ceci ne vous rebute pas).
DIGUE DENTAlRE
Cet outil sert à se protéger et à protéger sa ou son partenaire lors d’un cunnilingus ou d’un anulingus. On le trouve en pharmacie et auprès de certaines associations de lutte contre le sida.
GODEMICHE
Cet outil célèbre se décline dans toutes les tailles et sous toutes les formes, du pénis le plus réaliste au « lapin » le plus fantaisiste. Lorsqu’il est échangé entre partenaires, il convient de l’utiliser avec un préservatif lubrifié et après chaque utilisation, il est recommandé de le nettoyer avec une solution moussante antiseptique. On le trouve dans les sex-shops (pour le cas où cela ne serait pas évident LOL).
STERIBOX
Le Stéribox est un kit de protection destiné aux usagers de drogue par voie intraveineuse. Il contient deux seringues à insuline 1 ml, deux tampons d’alcool, deux flacons d’eau stérile, un préservatif, deux stéricup, un mode d’emploi et des conseils explicites. Vous le trouverez dans les pharmacies, auprès des associations d’auto-support et des associations qui prônent la réduction des risques.
ATTENTION : Bien que ce ne soit pas notre intention, cette page est illustrée de photos qui peuvent choquer les âmes sensibles ! Dans ce cas, veuillez ne pas continuer… Sinon, vous devez prendre cette page pour ce qu’elle est : de l’information afin de vous aider à vous protéger des IST !!
La terminologie de « maladies sexuellement transmissibles » (MST) étant impropre, on préfère actuellement le terme « d’infections sexuellement transmissibles » (IST). En effet un certain nombre de ces infections ne sont pas, à proprement parler, des maladies. Vous rencontrerez donc, dans les médias, de plus en plus cette nouvelle abréviation IST à la place de MST.
Les infections sexuellement transmissibles se définissent comme des infections pouvant se transmettre au cours des rapports sexuels. Il faut noter que certaines de ces infections ne sont pas exclusivement sexuellement transmissibles. Une mycose vaginale, le VIH (virus du Sida), le virus de l’hépatite B ou de l’hépatite C, par exemple, peuvent survenir chez une femme ou un homme qui n’ont jamais eu de rapports sexuels.
Les MTS sont des maladies que tu peux contracter principalement suite à des relations sexuelles. On les appelle aussi ITS (Infections Transmissibles Sexuellement) lorsqu’on englobe le VIH. En effet, les ITS sont des bactéries (comme la Gonorrhée, la Chlamydia et la Syphilis) des parasites (comme la Gale et les Morpions) ou des virus (comme le VIH / sida, l’Herpès, l’Hépatite A, l’Hépatite B, l’Hépatite C et les Condylomes).
Elles sont en forte augmentation depuis l’an 2000. Plus particulièrement, il y a eu dernièrement une recrudescence des cas de chlamydia et de gonhorrée. Selon la santé publique, le nombre de cas de syphilis en 2002 triple par rapport à 2001 ce qui démontre des signes de relâchement de la prévention notamment dans la communauté homosexuelle.
En savoir + :Guide des vaccinations 2006, disponible sur www.sante.gouv.fr. rubrique vaccinations.Calendrier vaccinai 2006» et «Santé des voyageurs et recommandations sanitaires 2006», disponibles sur www.invs.sante.fr à la rubrique BEH.Conseils du ministère des Affaires étrangères aux voyageurs et coordonnées des centres spéàalisés de vaccination internationale sur www.diplomatie.gouv.fr
Sida Infa Service: 0800 840 800 (7jl7, 24h/24) appel gratuit. Depuis l’étranger, appelez le 00 33155251353 (appel payant).
Toutes les adresses des centres de dépistage et des brochures d’info sont disponibles sur www.sida-info-service.org
Les modes d’emploi des préservatifs féminins et masculins sont à télécharger sur www.inpes.sante.fr
Le dépliant «VIH/sida: et si j’ai pris un risque ? Le traitement d’urgence», est disponible sur www.aides.org
Également disponible dans les comités Aides,la brochure intitulée «Ha rd safer se» » sur les risques des pratiques hard et sado-maso entre hommes.
LISTE NOIRE des MST – Signes, dépistage, traitements :
NOM
SYMPTOMES
MODES DE TRANSMISSION
DIAGNOSTIC
Blennorragie (chaude pisse)
(attention si vous n’êtes pas médecin, laissez le vôtre faire son diagnostic)
écoulement de pus de la verge, brulures en urinant,
pertes vaginales inhabituelles
par voie sexuelle
prélèvement génital
Chlamydia
souvent pas de symptômes
écoulement anormal,
pertes vaginales
par voie sexuelle
prélèvement local et cervical
Hépatite B
souvent pas de signes
fatigue, fièvre
par voie sexuelle
par voie sanguine
par voie materno fœtale
prise de sang
Herpès génital
douleurs,
brûlures,
plaies et petites cloques sur le pénis ou la vulve
par contact sexuel entre les muqueuses même sans pénétration ( contact bouche sexe et bouche anus)
par contact direct avec les lésions
prélèvement local et dans certains cas prise de sang
LGV (Lympho Granulomatose Vénérienne) ou Maladie de Nicolas Favre
chancre indolore sur le gland, la vulve et le vagin
brulures en urinant
douleurs et fièvre
par contact sexuel
par l’échange d’objets contaminés (parfois objets de toilette)
prélèvement local
Papillomavirus (condylomes, crêtes de coq)
excroissances ressemblant à des verrues sur :
les zones génitales,
anales
et même buccales
par voie sexuelle
par contact d’une muqueuse avec une zone du corps infectée (condylomes). Le préservatif ne suffit pas : le simple contact du pénis infecté contre l’entrée de l’anus suffit !!!
examen médical et frottis vaginal
Syphillis
petite plaie ou chancre au niveau génital, anal, buccal
ganglions
éruption, tâches rosées
par contact sexuel entre les muqueuses même sans pénétration : contact bouche sexe et bouche anus (sucer et/ou se faire sucer est aussi contaminant que la pénétration sans préservatif). Par le baiser également si présence d’un chancre au niveau buccal.
Les séropositifs ont une sensibilité accrue à certaines infections qui peuvent être évitées. Il faut donc évaluer le rapport bénéfice/risque d’une vaccination ou de son rappel. Pour les patients ayant un taux de CD4 supérieur à 200/mm3, les rappels de vaccinations universelles et certaines vaccinations spécifiques (contre les pneumocoques notamment) peuvent être envisagés sans risque. Pour les patients dont le taux de CD4 est inférieur à 200/mm3 et/ou qui ont une charge virale élevée, il est préférable d’éviter toute vaccination. Les vaccins utilisant des virus atténués sont contre-indiqués dans tous les cas. Lorsque le taux de CD4 est inférieur à 500/mm3, la réponse vaccinale est moins bonne qu’au sein de la population générale. Par ailleurs, la charge virale peut augmenter de manière transitoire après la vaccination.
BCG La vaccination est contre-indiquée dans tous les cas.
Diphtérie et Tétanos La vaccination est recommandée. Rappel tous les 10 ans.
Fièvre jaune La vaccination est indispensable pour tout séjour dans une zone intertropicale d’Afrique ou d’Amérique du sud même en l’absence d’obligation administrative. Elle demeure efficace pendant dix ans. Ce vaccin est contre-indiqué pour les patients ayant un taux de CD4 inférieur à 200/mm3 ou 14%. Un certificat de contre-indication peut être établi, mais il n’est pas toujours accepté (ce qui peut entraîner une vaccination sur place ou un refoulement).
Fièvre typhoïde Le vaccin est recommandé en cas de séjour prolongé en zone d’endémie.
Haemophilus influenza B Le vaccin n’est pas recommandé.
Hépatite A Le vaccin est recommandé chez les patients non immunisés en cas de voyage dans les zones d’endémie, pour les personnes ayant des pratiques à risques ainsi que pour les coïnfectés par le VHC ou le VHB. Une première injection est faite au plus tard deux semaines avant le départ, et un rappel six mois plus tard. La durée de protection est de dix ans.
Hépatite B La vaccination est fortement recommandée pour toute personne. séropositive sans aucun marqueur du VHB. Elle consiste en deux injections espacées d’un mois suivies d’un rappel, six mois plus tard.
Grippe La vaccination antigrippale peut être pratiquée selon les recommandations habituelles.
Méningite à méningocoques Le vaccin est conseillé pour les séjours prolongés dans les zones d’endémie.
Pneumocoque Le vaccin est recommandé avec rappel tous les cinq ans pour les séropositifs ayant un taux de CD4 supérieur à 500/mm3 et pour ceux ayant déjà fait une infection à pneumocoque. La vaccination est à étudier au cas par cas pour des patients ayant un taux supérieur à 200/mm3.
Poliomyélite Il n’existe pas de contre-indication pour la forme inactivée injectable du vaccin.
Rubéole Il n’existe aucune donnée sur l’innocuité du vaccin chez les femmes séropositives. Le risque est à évaluer avec celui d’une rubéole congénitale en cas de grossesse.
Varicelle Le vaccin est contre-indiqué chez les adultes séropositifs.
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En savoir + :Guide des vaccinations 2006, disponible sur www.sante.gouv.fr. rubrique vaccinations.
Calendrier vaccinai 2006» et «Santé des voyageurs et recommandations sanitaires 2006», disponibles sur www.invs.sante.fr à la rubrique BEH.
Conseils du ministère des Affaires étrangères aux voyageurs et coordonnées des centres spéàalisés de vaccination internationale sur www.diplomatie.gouv.fr
Sida Infa Service: 0800 840 800 (7jl7, 24h/24) appel gratuit. Depuis l’étranger, appelez le 00 33155251353 (appel payant).
Toutes les adresses des centres de dépistage et des brochures d’info sont disponibles sur www.sida-info-service.org
Les modes d’emploi des préservatifs féminins et masculins sont à télécharger sur www.inpes.sante.fr
Le dépliant «VIH/sida: et si j’ai pris un risque ? Le traitement d’urgence», est disponible sur www.aides.org
Également disponible dans les comités Aides,la brochure intitulée «Ha rd safer se» » sur les risques des pratiques hard et sado-maso entre hommes.
Un traitement postexposition est une trithérapie souvent mal connue : elle permet de réduire les risques de contamination. Attention : Il ne s’agit pas d’une « pilule du lendemain ».
Le traitement postexposition, d’une durée de quatre semaines, est une trithérapie qui peut être administrée dans les 48 heures après une prise de risque pour prévenir les risques de transmission du VIH. En raison de l’impossibilité de faire des essais, il est impossible de connaître son efficacité exacte. Mais l’expérience démontre que lorsque le traitement est bien suivi, peu de cas de séroconversion sont répertoriés. Même si elle ne dure qu’un mois, une trithérapie n’est jamais anodine. Le traitement est remboursé intégralement par la Sécurité sociale. En revanche, les examens liés à son suivi peuvent ne pas l’être.
OÙ CONSULTER EN URGENCE ?
Vous devez vous rendre au plus tard dans les 48 heures après la prise de risque dans un hôpital. Si celui-ci possède un centre de dépistage anonyme et gratuit, il faut vous y adresser. Si ce n’est pas le cas ou si vous venez consulter la nuit, un médecin des urgences doit pouvoir être en mesure de répondre à vos attentes. De nombreux témoignages ont néanmoins montré que ces derniers présentaient parfois des carences en prophylaxie postexposition au VIH. Si le médecin qui vous reçoit semble un peu dépassé, rappelez-lui qu’il a toujours la possibilité d’appeler un médecin référent ou demandez à voir quelqu’un d’autre. Dans le cadre de relations sexuelles, les experts recommandent un traitement en cas de rapport anal ou vaginal sans préservatif (ou en cas de rupture de celui-ci), ou fellation avec éjaculation lorsque l’un des deux partenaires est séropositif. Si le patient dit «source» (celui qui a peut-être transmis le virus à l’autre) n’est pas séropositif ou s’il ne le dit pas, le traitement n’est recommandé que s’il présente un profil « à risque », c’est-à-dire qu’il est multipartenaire.
SOUTENIR SON PARTENAIRE
En tant que séropositif, votre rôle peut être primordial si votre partenaire doit suivre un TPE. Si votre partenaire ne çonnaît pas l’existence du TPE ou si sa connaissance en est limitée, vous pouvez l’informer, le rassurer et éventuellement l’accompagner à l’hôpital. Si le traitement est administré, vous pouvez – même si rien ne vous y oblige – insister auprès de votre partenaire pour qu’il prenne bien son traitement et répondre à ses questions notamment en ce qui concerne les éventuels effets secondaires. . Le TPE ne sert à rien si une observation stricte n’est pas suivie. Enfin, et surtout, votre séropositivité constitue un élément d’appréciation important dans l’attribution ou non d’un TPE.
Tout savoir sur les infections sexuellement transmissibles :
Aujourd’hui, on parle plutôt d’infections sexuellement transmissibles (IST) que de maladies sexuellement transmissibles (MST), car la plupart d’entre elles se développent dans l’organisme sans donner de symptômes ou de signes visibles. Ainsi, sans avoir l’impression d’être malade, on peut être atteint d’une IST. Les IST sont en pleine recrudescence, à cause d’un relâchement des comportements préventifs, en premier lieu la baisse de l’usage systématique du préservatif. Le fait d’avoir une IST augmente considérablement le risque de transmission du virus du sida et peut aggraver l’état immunitaire des séropositifs.
COMMENT SE PROTÉGER DES IST ?
Le meilleur moyen de se protéger, c’est d’utiliser le préservatif. Pour la pénétration, il faut l’associer à un gel lubrifiant à base d’eau (Attention : l’utilisation de vaseline, rend le préservatif porreux !). Pour la fellation, il faut également mettre une capote, car de nombreuses IST se transmettent par cette pratique, surtout s’il y a éjaculation dans la bouche pour le VIH et même sans éjaculation dans la bouche pour la syphilis et l’hépatite B.
POURQUOI ET OÙ SE FAIRE DÉPISTER ?
Le seul moyen de savoir si l’on est atteint ou non d’une IST est de se faire dépister. Il est primordial de le faire le plus rapidement possible pour pouvoir suivre un traitement dans les délais les plus brefs. En effet, même si la plupart des IST (sauf le VIH) se soignent et se guérissent facilement, des complications peuvent survenir si l’on attend trop avant de commencer un traitement
En savoir + :Sida Info Service: 0 800 840 800, 7j/7, 24h/24.
Toutes les adresses des centres de dépistage et des brochures d’info sont disponibles sur www.sida-info-service.org
Les modes d’emploi des préservatifs féminins et masculins sont à télécharger sur www.inpes.sante.fr
Le dépliant «VIH/sida: et si j’ai pris un risque ? Le traitement d’urgence», est disponible sur www.aides.org
Également disponible dans les comités Aides,la brochure intitulée «Ha rd safer se» » sur les risques des pratiques hard et sado-maso entre hommes.
Voici 9 questions essentielles auxquelles Gay Graffiti nous tenterons de répondre :
ENTRE SÉROPOS, FAUT-IL SE PROTÉGER?
Le préservatif ne protège pas seulement du sida, il vous préserve aussi des autres infections sexuellement transmissibles (lST), comme la syphilis, qui ne font pas vraiment bon ménage avec le VIH. Par ailleurs, votre partenaire séropositif peut être porteur d’un virus plus résistant que le vôtre. Les études ont montré que ces résistances pouvaient se transmettre. Même si cela semble a priori moins évident, la capote entre séropos est donc nécessaire.
MA CHARGE VIRALE EST INDÉTECTABLE. SUIS-JE ENCORE CONTAMINANT ?
La charge virale a beau être en dessous du seuil de détection dans votre sang, le virus demeure présent dans votre organisme. Les risques de contamination existent toujours, la charge virale sanguine n’est pas corrélée avec la charge virale spermatique.
DOIS-JE DIRE À MA OU MON PARTENAIRE QUE JE SUIS SÉROPOSITIF ?
Dire que l’on est séropositif à un partenaire sexuel d’une nuit ou d’une vie, c’est toujours, en 2006, s’exposer à être rejeté. Si rien ne vous oblige à faire part de votre séropositivité, le faire peut, en revanche, vous aider tous les deux à être mieux conscients des risques. Et puis votre partenaire est peut-être séropositif aussi.
DOIS-JE METTRE UNE CAPOTE POUR SUCER ?
Le risque de transmettre le VIH par une fellation est faible, mais il existe. En particulier lorsqu’on se trouve en présence d’une IST, comme la syphilis, la blennorragie ou les gonorrhées. Celles-ci se transmettent très facilement par des rapports bucco-génitaux. Le meilleur moyen de s’en protéger, c’est de mettre un préservatif pour la fellation.
ET SI MON PARTENAIRE REFUSE DE METTRE UNE CAPOTE ?
Si vous êtes une femme, vous pouvez toujours utiliser un préservatif féminin (Fémidon). Si vous n’en avez pas à disposition, rappelez-vous ce slogan « no capote, no way »: pas de capote, pas de sexe. Même tarif, si vous êtes un homme. La capote ne doit pas être négociable.
QUE FAIRE EN CAS D’ALLERGIE AU LATEX ?
Il existe des préservatifs masculins en polyuréthane, moins gênants que ceux en latex, mais beaucoup plus chers. Les préservatifs féminins (Fémidon), sont également composés de cette matière. Demandez conseil à votre pharmacien. On en trouve à prix raisonnable sur le site « Le Roi de la Capote » où le paiemant est sécurisé.
L’USAGE DE SUBSTANCES PSYCHOACTIVES INFLUE-T-IL SUR LA PRISE DE RISQUE ?
Des études ont mis en évidence le fait que le crystal ou le GHB peuvent nuire à la volonté de se protéger. L’alcool, le cannabis, l’ecstasy, la cocaïne ou l’héroïne peuvent rendre moins attentif aux impératifs de prévention. Ceci étant, l’usage de substances psychoactives ne doit pas être considéré comme une excuse pour ne pas mettre de préservatif.
LES PRATIQUES HARD SONT ELLES CONTAMINANTES ?
L’hépatite B se transmet par les relations sexuelles non protégées et le sang. L’hépatite C se transmet par le sang. Les pratiques hard violentes peuvent donc être à risque. Pour les adeptes du fist-fucking, attention à la lymphogranulomatose vénérienne (LGV). Cette maladie qui peut avoir des conséquences graves a été observée chez des dizaines de gays qui se livraient à cette pratique. Attention aussi à l’hépatite C, qui peut se transmettre lors de rapports sexuels traumatisants.
JE SUIS CO-INFECTÉ, DOIS-JE PRENDRE DES PRÉCAUTIONS SUPPLÉMENTAIRES ?
L ‘hépatite B se transmet par voie sexuelle et par le sang, alors que l’hépatite C se transmet surtout par le sang (mais des cas de transmission sexuelle existent). Pour se protéger de la première, il faut utiliser des préservatifs, et dans les deux cas il faut éviter les pénétrations vaginales ou anales trop violentes et les pratiques où l’on se retrouve en présence de sang (pratiques hard ou rapport sexuel pendant les règles). De plus, la prise d’un stimulant sexuel comme le Viagra est déconseillée.
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En savoir + :
Sida Info Service: 0 800 840 800, 7j/7, 24h/24.
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Les modes d’emploi des préservatifs féminins et masculins sont à télécharger sur www.inpes.sante.fr
Le dépliant «VIH/sida: et si j’ai pris un risque ? Le traitement d’urgence», est disponible sur www.aides.org
Également disponible dans les comités Aides,la brochure intitulée «Ha rd safer se» » sur les risques des pratiques hard et sado-maso entre hommes.