Selon une supputation Rabelaisienne sujette Ă controverse par les Ă©thologistes, « le rire est le propre de lâhomme ».
Certes il ne fait pas bon mariage dâaborder un sujet gay dans des temps oĂč marine la Pen, sinon on vire en eaux de Boutin. Mais sans faire de table rase, abordons mon ami, un sujet trĂšs gay, « rit donc » pour nous rĂ©server un espace dĂ©tente.
Je vous avoue, sâil en est, quâil nâest pas aisĂ© dâĂȘtre drĂŽle mĂȘme si on me pense bon bougre, de toucher encore aux hommes, dans ses comportements avec ses corollaires socio sociĂ©taux. A lâinstar de feu Golda Meir beaucoup se pose toujours la question quâIsraĂ«l dans le dĂ©bat contradictoire, entre lâinnĂ© et lâacquis ?
Si ça tourne autour de lâhiatus, le style dâampoule recta Ă©clatera, dans lâesprit de beaucoup, mais je vous con-jure, rassurez vous il y aura du grec et de la religion et lâincontournable « connais-toi toi-mĂȘme » des amours socratiques ne sera pas oubliĂ©, mĂȘme si on dĂ©couvre que parfois lâhomme en Ruth laisse Booz tranquille. Pas plus ne sera oubliĂ©e lâĂ©vocation non rĂ©servĂ©e Ă lâextrĂȘme droite des Paix des Races un combat commun oĂč se cherche lâĂ©radication et lâamalgame en monnaie courante. Je sais, câest long, mais en ce domaine câest comme les impĂŽts, câest toujours le troisiĂšme tiers le plus douloureux. Je vous rassure la digression, bien que ma Meir est Ă©voquĂ© ici, nâest pas lâobjet dâune Ă©tude au XXIIĂšme congrĂšs de zoologie dâHaĂŻfa en 2012.
Enfin pour en finir avec cette introduction, qui peut paraĂźtre douloureuse mais le sujet sây prĂȘte quand lâesprit de lâinterlocuteur ne fait que sây arrĂȘter rĂ©sumant la chose quâa cela, queues des puristes soient apaisĂ©s. Le parallĂšle du propos nâest pas dans le fondement, bien que lâun et lâautre connaisse des coming-out dâexternalisations ou de cĆrcitions et des outing calomniateurs ou dĂ©nonciateurs. Il est, parce que nous sommes ce que nous sommes dans lâhumanitĂ© ! Parfois des ĂȘtres que lâon dit humains⊠AprĂšs tout si lâon en croit Darwin, lâhomme descendrait du singe, le singe de lâarbre mais au moins ma famille descend lĂ oĂč sans doute remonte certains.
Alors je suis qui ? Un anime mĂąle ?
Pardon pour lâoption si Ă contrarier le LEVI tique, Primo « si câest un homme » câest mon choix, secundo je demande une « trĂȘve » si la nature de ma chimie câest pas toujours du Ghetto, je nâaime pas le partisan qui le vit vain trĂšs the pour credo.
ECCE HOMO.
Deux classifications sont proposĂ©es : LinĂ© (mais je me plante pour lâatavisme) et Darwin pour lâacquis.
ArrĂȘtons ! « lâHomo Erectus » en ces deux dĂ©finitions issues de ces deux approches de ses sujets dâĂ©bats :
- Le premier cas sis dans le gonopode (les zoologistes de la salle me pardonneront lâassociation dâimage pour le deuxiĂšme termes), en deux variĂ©tĂ©s : Le testorophile ou lâanaprogestofĂšre intĂ©grĂ© dans la sous-classe herbivores (rĂ©gime Ă base de carottes, oignons, ail, poireaux, ou gazon âŠ) ou fructivore (abricots, figues, prunes). Pourtant on le soupçonne de rester ominovore.
- Le second, son prĂ©dateur, lâOrchopode de la famille des primates acĂ©phale taxon vĂ©gĂ©tatif Ă tendance angiosperme bicotylĂ©dones caquques, surtout aperçu en cuniculture et parasitaire en conchyliculture.
Le premier ne serait quâune aberration Ă©co systĂ©mique dĂ» Ă la supputation de sa reproduction parthĂ©nogĂ©nĂ©tique en opposition Ă la reproduction sexuĂ©e naturelle du second.
Alors tu sais ce quâil te dit le cassis ?
Nature or not Nature ?
Mis Ă part un mystĂšre la HyĂšne, dont la reproduction nâa jamais Ă©tĂ© observĂ©e et pour laquelle le sexe est rarement Ă©tabli, tous les goĂ»ts sont dans la nature mais elle nâa jamais Ă©tĂ© trop aidĂ©e puisque comme en lâEtat elle recule, 1500 espĂšces dont 400 vertĂ©brĂ©s connaissent des comportements dâanthropomorphisations homosexuels passant du Lion au Dauphin. 500 espĂšces sont rĂ©pertoriĂ©es ainsi. Si la constante se retrouve dans les espĂšces sexuĂ©es, elle est typiquement fĂ©minine chez le lĂ©zard parthĂ©nogĂ©nĂ©tique du fait de la disparition du male, et surtout fĂ©minine chez le macaque, et complĂštement dĂ©lirante chez le Bonobo (masturbation, homosexualitĂ©, gĂ©rontophilie) mais jamais pĂ©dophilie ! Ce domaine est donc bien contre-nature.
Ces accouplements observés, érigés en Con de Tantes, trouvent trois origines :
- HiĂ©rarchique : comme le cerf, le phoque et le lion entres autres, soumission au male ou Ă la femelle dominante dans une sociĂ©tĂ© structurĂ©e en meute. On appellerait ceci un principe gouvernemental en pyramide, et je ne pointe pas lĂ un fait dâEtat.
- CĆrcitive : par lâincapacitĂ© Ă trouver lâautre sexe en pĂ©riode de rut ou pour une vie commune (pingouin, oiseauxâŠ) observĂ© aussi en milieux fermĂ©s, prisons, couvents, casernes, et autres zoos.
- Symbiotique : comme le Bonobo, la Bouvarde ou la perdrix. Ne vous en dĂ©plaisent aussi, le liĂšvre et le lapin. Se range dans cette catĂ©gorie deux exceptions : les espĂšces hermaphrodites qui par dĂ©finitions sont bisexuelles et les espĂšces transgenres dont lâhuĂźtre qui change de sexe Ă volontĂ© (je ne sais pas si la chose est observable chez le morpion âŠdĂ©solĂ©.)
Reste que si le CoĂŻt nâest pas toujours consommĂ©, il peut aussi ĂȘtre observĂ© sous une forme masturbatoire comme chez les poissons.
Bon, Oublions la HyĂšne (haine) entre nous, comme le rictus du singe assimilĂ© au rire, la controverse sur le naturel est close. Mis Ă part la fonction reproductive de lâespĂšce, il nây a pas beaucoup de contre-nature dans tout cela.
Sur les vies des BĂȘtes, nâayant pas le talent FrĂ©dĂ©ric Rossif « dans la citĂ© des hommes (1966), « la fĂȘte sauvage (1973), de nos « amis les BĂȘtes (1961), « de notre temps (1962) », « aussi loin que lâamour (1971) », reste un « opĂ©ra sauvage (1975) », qui se heurte surtout sur « un mur Ă JĂ©rusalem (1968) », je veux bien ĂȘtre taxĂ© de VangĂ©lisme, si cela a un sens, voir un « Saint sens » (quâil me pardonne mâavoir appropriĂ© « le carnaval des animaux ») et sans dĂ©ranger les mannes de Brassens, « la mauvaise rĂ©putation » dans les vits tics vint trĂšs certainement (lĂ©vitique 20.13 ?).
Comment sâopĂ©ra, Ă lâheure du crĂ©puscule des Dieux, lâantagonisme entre Divan le terrible et PĂ©dĂ©raste et mĂ©disante ?
Finalement, sâil fallait filer Ă lâanglaise « goĂ»t no ! » pour une nuit sur le Mont Chauve, « Carmen », Messie Dixit Haendel, (mais on peut aussi aimĂ© Benjamin Britten), tout cela câest de la faute Ă la tentation.
Comme le rictus du singe est assimilĂ© au rire, la controverse sur le naturel est close, disais-je, mĂȘme pour les anthropomorphes dĂ©istes, mis Ă part la fonction reproductive de lâespĂšce, il nây a pas beaucoup de contre-nature. Soit ! Mais lâhomme est un animal pensant et peut-on sciemment laisser entrer le vice dans les temple de la vertu ? Posons donc le manichĂ©isme, source des mots et des maux. Aux mots pour le dire, je me livre peut ĂȘtre un peu ? Il est vrai quâen ce domaine il y a religion. MĂȘme si on le prend comme une reine, lâĂ©ducation sexuelle se rĂ©sume-t-elle pour le « Livre » Ă se mettre sous les couvertures et ne pas tourner les pages ? Comme pourrait le
penser quelques bons pasteurs en rage de recevoir des commandements, des charpentiers qui jurent Ă de pas toucher Dubois, ou ce Chamelier prĂ©cis las de nâĂȘtre fol du dĂ©sert, oublions les mille et une nuits et paraphrasant Malraux intĂ©ressons nous Ă la mĂ©tamorphose dâodieux, et pour ceux qui ont le cafard, il reste Kafka, pour faire le ProcĂšs.
Quittons les Genets sous haute surveillance (1949) voyons plus loin que le balcon et derriÚres les paravents. Hissons le foc, le Pirée est en vue (le pire est à venir), il fera Beauvoir pour le troisiÚme sexe. Que le Meat coule pas ! Dus sais-je pour la Marine et Louis Pasteur faire de la Pen à Céline. On ne va pas en faire une maladie sur les générations spontanées.
VA TE FAIRE VOIR CHEZ LES GRECS.
Tournant autour du DĂ©sir, laisse-moi lecteur patient, entamer le « voyage, voyage ». Enfilons nos sacs Ă dos, et sâil fait froid dans la vie (pour les fans de CĂ©line (Dion mâen garde, pas pour la bagatelle, restons sĂ©rieux, jusquâau bout de la nuit) ou de Roch (lĂ on Voisine si tâes ok, avec la rage, mais si ça reste acrobatique câest surtout sur lâHudson quâon trouve le cas)) mettons la canadienne cela rĂ©chauffe le coeur comme on dit Ă Ottawa. Pour ceux qui nâaime pas le bateau, quâil soit Ă voiles ou a vapeur, on peut toujours prendre la Mercury et faire un tour dans le Quennâs, en sirotant un Black and Wilde (pardon White) et Ă©couter du Franck Michael.
Si vous en ĂȘtes, faite moi lâamitiĂ©s particuliĂšre de mâaccompagner chez les antiques, (pas les antiquaires, quoi queue âŠ). En ces temps lĂ , les AthĂ©niens sâatteignirent, les Satrapes sâattrapĂšrent. On ne sait ce que firent les Kurdes mais en tout cas les Perses se percĂšrent, bien avant 1943.
Au fil des siĂšcles, lâapologisme du Patriarcat prĂŽnĂ© par les cultes solaires au dĂ©triment du matriarcat des cultes lunaires, engendre pernicieusement un problĂšme mal digĂ©rĂ© par la JudĂ©o-chrĂ©tientĂ©. Certes, lâhumanisme sĂ©culiers ayant accordĂ©e depuis la controverse de Macon Ă la deuxiĂšme moitiĂ© de lâhumanitĂ© une Ăąme, lâanimal des deux sexes, qui est en nous (pas forcĂ©ment le cochon qui sommeille), aurait acquis en totalitĂ© la diffĂ©renciation hypostatique. Mais on va pas se Plotin pour autant. Il sâagit dâun autre dĂ©bat que la confusion avec les conciles de Trente ou de NicĂ©e. Ici ce nâest pas un dĂ©bat Bergsonien sur la recherche dâun supplĂ©ment dâĂąmes, je me fous de la Con damnation. Entre travestissements et fausse vĂ©ritĂ©s, entrĂ©es dans les annales, en ce domaine, il y a Ă boire et Ă manger entre le banquet de Platon, et le repas chez LĂ©vy (encore lui, ça devient un tic vain trĂšs Ă©troit) (LĂ©vitique 20.13 et de trois !)
Les civilisations prĂ©chrĂ©tiennes voient le sexe dâune autre façon que notre morale phagocytĂ©e par les dogmes. Si lâon peut affirmer que cette pratique y Ă©tait courante, non dans la doctrine biologique en adĂ©quation avec la place laissĂ©e Ă la femme et sa maĂŻeutique gĂ©nĂ©tique, comme actuellement, mais plutĂŽt dans sa vision sociĂ©tale Ă©tablie, plus proche de lâĂ©tat de nature (pas celle de Rousseau, on nâest pas des sauvages) mais de hiĂ©rarchie. MĂȘme si tout ceci est cousu de fil blanc, Sappho le dĂ©tour ! Sauf pour les mauvaises langues : ne coupez pas les cheveux en quatre sâil vous plait.
La virilité est de mise, le héros, le guerrier et le dieu forniquent.
AttestĂ©es dans lâempire perse, lâamour des eunuques perdurera dans lâempire Ottoman, qui fera prĂ©fĂ©rer Ă Soliman, la chaleur du corps dâun jeune garçon ou dâun homme Ă la froideur de la femme, suivant ici la tradition dâArtaxerxĂ©s ou Darius III se partageant Bagoas avec Alexandre le Grand.
La DĂ©mocratie grecque patriarcale est divisĂ©e dans sa rĂ©flexion, seul le citoyen ayant le droit de CitĂ©. En bon mesquin, je vous soumets plusieurs courants qui sâaffrontent :
Le PĂ©dĂ©raste, (un des plus connue Ă©tant Socrate). nĂ©cessaire Ă la formation des Ă©lites, par lâenseignement, aux moyens de relations de domination entre le mentor et lâĂ©lĂšve, pour sa dĂ©termination Ă tous les aspects de la vie future et matrimoniale, par la transmission des savoirs de lâage Ă la jeunesse sous couvert de chastetĂ© et de spiritualitĂ©, ouvrant le chemin des premiers pĂ©ripatĂ©ticiens.
A cette occasion sortons du Marais, (pas celui de Cocteau), je vous rappelle que pĂ©dĂ©raste ne prend son sens dâamour des jeunes hommes pubĂšres quâau XVIĂ©me siĂšcle et dâhomosexuel quâau XIXĂ©me siĂšcle de plus jâai le regret de vous informer quâil ne faut pas confondre avec pĂ©dophile. La relation sexuelle avec des impubĂšres, trĂšs justement rĂ©prouvĂ©e par toutes les sociĂ©tĂ©s anciennes et modernes nâest pas lâapanage du pĂ©dĂ©raste et ne sâemploie pas forcĂ©ment au masculin. La notion est plutĂŽt, pour les « Mickey », jus dâidĂ©aux crĂ©tins, par forcĂ©ment Orthodoxe pour prĂŽner le mĂ©lange des genres.
Le StoĂŻcien puis le nĂ©o-platonniciens et derniers pĂ©ripatĂ©ticiens, y voyant lĂ un hĂ©donisme douloureux, contraire Ă leur philosophie du plaisir en soi, basĂ©e sur la tempĂ©rance, et la contradiction entre la chair et lâesprit, ainsi vouĂ© Ă la honte et la mort. EpictĂ©te CicĂ©ron comme un dĂ©bat sur le sexe des anges, finalement on commence a prendre sa vessie pour une lanterne et on se brĂ»le Ă la lanterne dâAristote.
Pendant ce temps-lĂ le bataillon dâĂ©lite thĂ©bain, qui tirait sa force des amours de ses combattants, dans lâapproche qui nâest mieux quâun amant en qui ont en a confiance pour sâauto-protĂ©ger (Repris et encouragĂ© par lâArmĂ©e Française, en 1914-1918 dans les tranchĂ©es. Qui dâautre quâun amant vous protĂ©gera davantage en cas de coup de Trafalgar ? Faits longtemps passĂ©s sous silence, il est largement admis aujourdâhui par les historiens. Notons au passage quâencourager ces amours particuliĂšres avaient dâautres avantages : limiter les dĂ©sertions et Ă©viter les viols des populations locales entre autres).
Corrélativement rendait caduque les velléités de Lysitrata comme pendant la guerre avec Sparte.
Cette relation de confiance fut dâailleurs Ă©tayĂ©e comme un des chefs dâaccusation des templiers qui pourtant respectait sans doute la chastetĂ©.
Lesbien descendu ?
Si je suppute, selon certain, nâoublions pas Lily, pour lâĂ©galitĂ© des droits en la matiĂšre, Sappho sur lâĂźle de Lesbos au VIIĂšme siĂšcle avant J.C. chantait les amours entre femme, mais le physiologiste dira plus tard que ce nâest quâune hystĂ©rique. Pour ceux que ça intĂ©resse encore, lâĂ©tymologie dâhystĂ©rie est la maladie des femmes sans hommes. Mais nâoublions pas que la phallocratie est pĂ©renne en la demeure, expliquant les relatives indulgences des hommes Ă cet Ă©gard dans les siĂšcles et les pays. Il Ă©tait cependant courant quâune dame respectable se sente humiliĂ©e par la virilitĂ© de son mari du fait quâil ne sache pas plaire aux hommes. Paradoxalement le premier fĂ©minisme actif est donc Ă©clos dans la GrĂšce antique. Il faudra 2000 ans pour le retrouver.
Pour Rome de mĂ©moire dâHadrien par Jupiter quand Zeus deviendra un Begle (pardon un bel aigle) emportant GanymĂšde, AstartĂ© par terre kelabim, la relation sexuelle est surtout un « usage social » Ă©tabli : le penis en Ă©rection sâoffre comme signe de rĂ©ussite et de bonheur. Pour Apollon, un copain troyen, câĂ©tait des hiacynthes, pardon des jacintes, et la coutume dit « socratique », (xanthipe devait ĂȘtre trĂšs acariĂątre), rend obligatoire Ă lâesclave de sây soumettre, et a lâaffranchi dâavoir la complaisance dâen remercier son ancien maĂźtre. Toutefois lâapologie virile introduit une problĂ©matique : le citoy
en doit ĂȘtre un dominant et donc dâavoir un rapport actif. La notion de lâactif et du passif, Ă©tait nĂ©e et elle va changer la face du monde devenant lâaune dâapprĂ©ciation du comportement et de ses zĂ©lateurs.
Ceci combinĂ© avec lâavĂšnement du christianisme, et Pan pour le berger, dans lâempire romain reprenant les philosophies stoĂŻciennes, cette dualitĂ© de la chair et de lâesprit, de la rĂ©probation Ă la rĂ©pression le pas se franchit sous le rĂšgne de ThĂ©odose en 390, avec la premiĂšre condamnation au BĂ»cher pour les Passifs.
On a quitté Platon, pour Plotin et Saint Augustin, arrive le commencement du rÚgne des souverains poncifs. Mais a qui jeter le Pierre ?
Le naturel est circonscrit Ă la reproduction sans plaisir (sinon câest un pĂ©chĂ©) a fortiori la fornication est bannie, acquiĂ©rant mĂȘme le statut de contre-nature, quand on vous dit que le rire nâest pas le propre de lâhomme ! Comme dirait ST Mathieu quand il laissait venir les enfants Ă lui, (vieille tradition dans les religions du livre, vous avez vu lâage de Marie, et dâAĂŻcha ou SephoraâŠ) « le sexe câest caca et faire le sexe dans le caca câest pire ». Ce nâest pas encore Darwin mais câest dĂ©jĂ la diffĂ©renciation entre le sage et le singe.
LE SAGE ET LE SINGE MONTRENT LA LUNE ou LOTH NE TE RETOURNE PAS.
LâAvatar citoyen ou « le Pater familia », modĂ©lisĂ© romain devient souche de lâesprit des lois naturelles, divinisĂ©es par ST Paul, quand il nâĂ©tait pas occupĂ© Ă casser les raisins aux Corinthiens, pour leur parler de Sodome, et autres lĂ©gifĂ©reurs un peu dâAquin sur les bords thurifĂ©raires dâempĂȘchement de penser dans son coin. Dieu me prothĂšse, Loth, quitte la cafetiĂšre de Sodome, (selon la lĂ©gende son oncle Abraham, vĂ©nĂ©rait le dĂ©ca, logique, et souvent pour ceux qui mâauront pas encore con pris, lui disait tu me fais un « dĂ©ca » loth !), et emmĂšne ses filles loin des pratiques de Gomohre, les religions entrent dans le bal le crĂ©do « croissez et multiplier » sâimpose et tant quâil y aura des hommes et parfois des souris, nâest -ce pas George (je vous en bouche un coin), la tapette nâest pas loin et le pĂ©chĂ© originel, câest pour ma pomme. SaĂŒl payĂ©
Si Adam avait Ă©tĂ© homo personne nâen parlerai. Depuis la genĂšse on va finir par comprendre que lĂ oĂč il y a de la GĂ©henne, point de plaisir. ReprĂ©sentĂ© par cet homme contrevenant au lĂ©vitique ? Elle est amusante dâailleurs cette sociĂ©tĂ©, pourtant si Platon y nique au banquet, sâen orgueillant de sa compagnie, et on en oublie lâobjet de ses fornications, alors quâelle en exclue encore Levy qui ne peut donc pas tiquer. Quand on vous dit que câest une question de tentation.
LA TANTE A SION
Sous cet angle, LâhomosexualitĂ© ne serait donc quâun apport occidental Ă la vie en sociĂ©tĂ©. LĂ je pĂ©dale, voyons la vision avunculaire des religions sur la prĂ©pondĂ©rance de la position du missionnaire sur celle de lâinfidĂšle.
Il court le furet ? Observant amusé les populations du cap sur la berge des ravins.
Deux Ă©coles de pensĂ©e rĂ©pressives thĂ©orisent lâĂ©radication de la non-exponentialisation du cheptel.
Dâune part le complexe dâOnan que lâon retrouve dans la pensĂ©e MaoĂŻste, catalyseur de lâabomination que lâon trouve dĂ©clinĂ© dans lâacception judaĂŻque qui tolĂšre la contraception mais nous a donnĂ©e la gouine vers 1625-1655 (femme de mauvaise vie disons prostituĂ© (que lâon retrouve dans le queen de lâargot anglais), tirĂ© du normand guain (salaud) et de lâhĂ©breu goyim (non juif) ou de la goule judĂ©o-chrĂ©tienne)) mais aussi bouddhiste, condamnant Ă©galement lâacte quand il nâest pas pratiquĂ© dans lâorifice procrĂ©ateur surtout quand il y a notion de douleur du partenaire. La variante japonaise est plus Ă©dulcorĂ©e.
Et dâautre part lâActe contre-nature, LĂ câest Staline qui nous court sur le haricot hongrois, dans la considĂ©ration chrĂ©tienne et islamique focalisĂ©e autour du LĂ©vitique chapitre 20, verset 13.
De plus, il y a les extrĂȘmes que lâon retrouve dans les intĂ©grismes, et les sectes, Mormons et Jehova entre autres condamnant lâadepte Ă un douloureux silence et une abstinence, sous peine dâexil communautaire. Mais ça nâempĂȘche pas la captation dâhĂ©ritage je vous rassure les bijoux de famille de Montgmorry Clift ont bien Ă©tĂ© emportĂ© par ses corĂ© lĂ©gionnaires.
Les moyens encore, certaines avancĂ©s de lâEglise Anglicane entre autre ou Orthodoxe, il faut dire que la prĂ©lature des deux sexes et mariĂ©, ça aide peut ĂȘtre, le summum Ă©tant les nominations dâĂ©vĂȘques expressĂ©ment gay. Mais aussi un certain assouplissements des religions du livre en ce domaine avec des tentatives dâouvertures publicitaires, mais bon je ne vous rappelle pas les prises de position vaticanes de sâopposer toujours localement aux autoritĂ©s pour toutes dĂ©marches tendant au pacte civil et au mariage non hĂ©tĂ©rosexuelle, ni celles de la mecque.
JâĂ©viterai dâailleurs les histoires de Mecque, Ă©vitons les sujets qui fĂąchent, le mien est dĂ©jĂ assez ambiguĂ« comme ça. Disons quâils existent des associations de croyants homosexuels, tolĂ©rĂ©es par les hiĂ©rarchies de tous les courants prĂ©citĂ©s, modĂ©rant lâanathĂšme.
Enfin des centristes, ne connaissant pas le pĂ©chĂ© de chair, lâhindouisme nâaccepte que la relation charnelle hĂ©tĂ©rosexuelle et matrimoniale, pas de chance.
Il est Ă©vident que lâanathĂšme sâaccompagne de la peine de mort pour le sodomite, par lapidation, castration et rĂŽtisserie de la reine PĂ©dauque jusquâen 1750. Pour les mahomĂ©tans la pendaison Iran y rend tyran petit patapon ou la prison chez les modĂ©rĂ©s.
Petite apartĂ© cette lĂ©gislation applicable dans beaucoup de pays islamique, du fait du statut de la femme nâest applicable quâau homme, le lesbianisme faisant souvent partie des phantasmes masculins ou vu comme une dĂ©monstration zoologique, il nâest souvent pas condamner par la charia. Finalement il y a Ă boire et Ă gousser pardon manger. Les gousses câest surtout avec le gigot Ă lâail quâon en parle.
ELLE EST FOLLE CELLE-LA ?
O Tempora o Mora est ! Il faudra attendre 1869 pour que BENKERT mĂ©decin hongrois de son Ă©tat dĂ©finisse le mot « dâhomosexuel ». Alors docteur ? cliniquement je suis quoi ? Ben câest une dĂ©viance bien sur, lâhomosexualitĂ© est donc une anomalie mentale, (retirĂ©e officiellement du catalogue en 1990 par lâOMS), nây retrouve tâon pas les symptĂŽmes de lâhypersexualitĂ©, et la perte du bon sens ?
Comme telle, appuyĂ©e par le grille dâorientation sexuelle de Klein Ă©largissant celle de Kingsley, elle Ă©tait soignĂ©e, par lâĂ©lectrochoc, la lobotomie, la greffe testiculaire dâhĂ©tĂ©rosexuel dans les annĂ©es 60 en Allemagne et en France, avec ou sans analyse avec son cortĂšge de causalitĂ©s, dĂ©terminismes, castration ambiante, frustration, affirmation avec envoi en « camps de rééducations » souvent sponsorisĂ©s par les autoritĂ©s religieuses et surtout par leurs succursales sectaires, comme aux Ă©tat Unis. Bref la panoplie curative « des maladies mentales. » de base.
A lâinstar de la parturiente qui se devait dâenfanter dans la douleur, pour la punir du « pĂ©chĂ© originel » (la pratique de la pĂ©ridural est souvent dĂ©conseillĂ©es par quelques MEDECINS (mais bon entre le serment dâHippocrate et dâHypocriteâŠ) trĂšs cons vaincants). Doit on alors ĂȘtre soumis au pĂ©ril durable ? Et si Charcot nâĂ©tais pas passer par lĂ , on brĂ»leraient peu ĂȘtre encore les hystĂ©riques, ( je ne vous rappelle pas lâĂ©tymologie dâhystĂ©rique⊠ni que son traitement Ă©tait lâhystĂ©rectomie jusquâen 1960, câest fou ce quâon se marraient dans les annĂ©es 60âŠJust do it, isnât it ?) et si Korsakoff nâavait pas prĂŽner lâabandon des camisoles de forces ? OĂč seraient Freud et Lacan ? Pour expliquer nos touches pipi, et lâamour de notre mĂšre, tout çà mâElectre trie ce chambard ? Nos mĂ©decins de lâAme et du corps veilleraient sur nous, dans un monde de piĂ©tĂ© pour lâAIDS, il y en encore qui pense que le flĂ©au de 1982 ça veux dire Sauvagement Introduit Dans lâAnus. Bon allez vous allez dire que jâai fumĂ© du H si de doctes praticiens ne dĂ©terminait pas la voie de contamination au regard du Kaposi du patient.
Plus sĂ©rieusement, cliniquement le problĂšme pourrait ĂȘtre du Ă un disfonctionnement mitotique fĆtal de lâembryon toujours femelle, causant un hermaphrodisme partiel ou total, dont la solution chirurgical tente de rĂ©soudre la question, quand au problĂšme identitaire on sâefforce dây remĂ©dier par un prĂ©nom androgyne donnĂ© Ă la nouvelle fillette, mais demeure le problĂšme psychique, renforcĂ© par les derniĂšres Ă©tudes sur lâidentitĂ© de la pensĂ© et du corpus cervical.
Mais pourquoi vouloir Ă toute fin trouver une raison Ă un choix ?
A quand une Ă©tude sur lâincidence de lâhermaphrodite de lâescargot de bourgogne dans le haut Vivarais du moyen Age et son incidence sur la consommation de la tarte aux fraises observĂ© au mois de Juin dans les rĂ©gions de la VendĂ©e et de la Savoie ? Futiles ? En fut il, il en est ? Câest important ? DĂ©viance ? Ok allez demain plutĂŽt que de prĂ©fĂ©rer les hommes et vouloir ĂȘtre Monogame, je phantasmes sur les talons hauts et le cuir rouge, je ne ferai lâamour que pendu au lustres et ne pratiquerait quâen Ă©tude avec une cravate, je voyagerai pour voir NapolĂ©on sur les remparts, promis demain je deviendrai Polygame et nâaurai quâune sexualitĂ© normale dĂ©bridĂ© sans fidĂ©litĂ© avec gadgets et culottes en dentelle, fouet et excrĂ©ments, je me ferai talquer le cul et donner le sein, promis je deviendrai normal, je me masturberai plus quâavec le tuyau de lâaspirateur ou avec une aubergine (je vous rappelle que sinon, je suis toujours en contact avec un homme Ă qui je procure du plaisir : moi-mĂȘme ! Merci Woody Allen.). Promis je nâexigerai plus de mon partenaire que de nâĂȘtre quâun homme adulte consentant, jâexige le viol pour assurer ma virilitĂ©, je me forcerai Ă devenir pĂ©dophile (non merde câest vrai je serai obliger de prendre des petites fillesâŠ. Voir Marc Dutroux, Emile Louis, et bien dâautres⊠) pour entrer vivant dans la lĂ©gende associant lâhomosexuel au pĂ©dophile. (Tiens ! Au fait ! Je vous signale messieurs les ascenseurs de la pensĂ©e unique que (je me rĂ©pĂšte) lâon est dans un monde dâhomme et que le Code pĂ©nal, trĂšs macho, ne reconnaĂźt que la bite comme instruments de dĂ©lit donc dĂ©solĂ©, pĂ©dophile câest malheureusement un nom commun masculin (inceste de citron pour les larmes ?) et que le viol dâun homme par une femme nâest pas reconnue comme tel (dommage nâest ce pas ? sauf avec objet, mais bon on va pas tuer le Viagra pour ça, lâhomme battu nâest aussi pas non plus pas toujours reconnu)
ArrĂȘtons lĂ de faire des radios il y a assez de clichĂ©s dans cet album ! Promis demain je deviens comme vous, bel hĂ©tĂ©ro bien pensant : jâarrĂȘte de pisser pour devenir un homme qui ne touche plus le sexe dâun homme, et je rechercherai dans toute la chrĂ©tientĂ© le saint caca du Christ ! Le miracle câest que je devienne aussi pisse froid ?
Quittons la position du missionnaire, je demande pas dây ĂȘtre infidĂšle, jâai bien le « prie Dieu » mais pour ĂȘtre en pĂ©nitente je prĂ©fĂšre fumer sans accessoire. La science nâest plus trĂšs sur que ce soit non plus une maladie, alors voyons la chair qui est faible paraĂźt-il ? Dans la cuisine des anges quâimporte si notre rata prend du ton.
Au fait, si jâai tentĂ© maladroitement dâaborder la science des Ăąmes, puisque lâorthographe est la science des Ăąnes « PD ou pĂ©dĂ© apocope de pĂ©dĂ©raste de 1836, fĂ©minisĂ© en pĂ©dale en 1935 dĂ©valuĂ© en pĂ©doque en 1953 et la pĂ©d de 1972, et comme un foc » dans un dĂ©bat dâidĂ©e, recevez dĂ©jĂ celle-ci, beaucoup prĂȘtent des mĆurs Ă un mammifĂšre marin coutumier du Harem oĂč certes parfois traĂźne un jeune male, dans une expression qui provient dâune voile recevant les vents arriĂšres, mais bon, on ne va pas se fĂącher pour savoir qui est Ă voile et qui est Ă vapeur on ne cherche pas le piston non plus.
Alors ma cousine ? « DELIVRE NOUS DU MAL » ou « MA TANTE AU CLOU » T4 ou tâes pas cap ?
Serait-ce normal en ces temps ou tout foire de tout cotés, queue la boutique aux monstres soit toujours ouverte ? Alors pour un Credo pour notre crédit, tu me Suisse sur cette voix et entends ma priÚre :
Que ton « NON ! » soit sans intensité,
Que ta haine ne vienne,
Que ta volontĂ© soit dĂ©faite sur lâalter, gomme haut fiel, part !
Abandonne nous aujourdâhui notre plein sĂ©jour,
Donne nous nos différences comme nous part donnerons à ceux qui nous ont offensés,
Ne nous soumet plus Ă lâattente a Sion mais Ă des livres durables.
Délivre nous de tout male saigneurs de « Je Suce »
Et donne nous la paix Ă notre clan.
Car câest a nous quâappartiennent le rĂšgne la puissance et la gloire, pour des siĂšcles et des siĂšcles.
AmĂšne plus Ă quelques incultes qui ont le neurone gonadique.
Mais bon puisquâon est censĂ© laisser Ă la porte du temple lâhomo, on le tue, a le dire asocial ? Il est vrai que lâinquisition nâa finie officiellement quâen 1912 et en 1810 assistĂ© Ă un bĂ»cher Ă©tait synonyme dâabsolution. Mais par quelle « Camino » pardon chemin lâopus dei (pas la secte), mais le verbe est il encore prĂ©sent jusquâĂ nos alcĂŽves ? Je ne saisâŠ.
Pour rappel (voir paragraphe âLesbien descendu ?â) je disais donc que : sous le rĂ©gne de ThĂ©odose en 390, on enregistre la premiĂšre condamnation au BĂ»cher pour les Passifs. Mais câĂ©tait des temps barbares que notre civilisation ne serait connaĂźtreâŠ
Je vais encore DĂ©portĂ© un peu sur mon temps de parole, mais ça Ă©vitera les questions. Dans la vie on nâest jamais trop aidĂ©. La rĂ©pression religieuse nâa plus court dans les Ă©tats laĂŻcs ayant abandonnĂ©s la religiositĂ©. Lâachoppement de la rĂ©pression LaĂŻque Ă lâassimilation par le contrat social chĂšre Ă Rousseau, reste le combat Ă mener par les militants..
LĂ je vous parle philosophie pas engagement, quâil y est Platon pour la caverne et le banquet, lâombre dâAlexandre pour le cynisme de DiogĂ©ne et la lanterne dâaristote, jâaimerais voir Ni hĂ©ro nĂ©gatif, ni zĂ©ro positif.
Longtemps assimilĂ© Ă un Comportement anti-social, jusquâen 1789,et le dernier bĂ»cher dâhomosexuel datant de 1750 (quand on vous dit que la reine pĂ©doque câest une rĂŽtisserie), le code de 1804 discrimine toujours lâĂąge de la majoritĂ© sexuel Ă 18 contre 15ans pour les hĂ©tĂ©ros, maintenant ainsi lâĂ©ventuelle poursuite pĂ©nale, il faudra attendre 1982 pour que le code civil abroge toutes les dispositions sur la discrimination pour orientation sexuelle sous la pression de robert Badinter. Puis les lois rĂ©centes sur la discrimination pour orientation sexuelle de 2002 et de 2004
Comme dirait un bien pensant, il pleure comme une fille, et câest avec ce genre dâĂ©ducation que lâon nous pond un jour le mĂ©lange des genres et le particularisme sexuĂ© de lâencĂ©phale, qui peut ĂȘtre est vrai mais qui risque Ă longs termes de donner du grain Ă moudre aux antiparitaires.Au passage, a-t-on pensĂ© combien il est dur pour un homosexuel de vivre son homosexualitĂ© au grand jour dans un monde hĂ©tĂ©ronormĂ© ? Vous ĂȘtes-vous demandĂ© combien de forces il faut Ă un gay pour sâassumer ? Qui de lâhĂ©tĂ©ro ou de lâhomo devra sâarmer le plus pour affronter son destin ? Lâexpression populaire âcâest pas un sport(*) de pĂ©dĂ©â sâadresse-t-elle rĂ©ellement au bon mec ? (*) remplacez cette mention par ce que vous voulez : boisson, travail, truc quelconqueâŠ). La question reste posĂ©e ! Quel vĂ©ritable HOMME pourrait vivre pareille ignominie ? Les rĂ©ponses arrivent ci-aprĂšs, si vous ne vous ĂȘtes pas encore lassĂ© par mes propos et si vous ĂȘtes encore lĂ pour me lireâŠ
Câest la vie en rose ?
Symphonie pour triangle et orchestre. Tu ris oncle Bent ? Pour les fans dâAkhenaton (AmĂ©nophis IV) pour les puristes, on coule chaĂźnes. Sang attiser les passions.
En 1935, sous couvert du paragraphe 175 actif de 1871 Ă 1994 dans le code allemand qui permettait lâarrestation pour homosexualitĂ© jusquâen 1970, Hitler, dĂ©porte les âTRIANGLES ROSES » qui par milliers seront torturĂ©s, et sujets dâexpĂ©riences mĂ©dicales, mourant eux-aussi en grand nombre, la mesure sâĂ©tendant Ă toute lâEurope au prorata de lâavancĂ©e des troupes dâoccupation. Pourtant, lâEglise protestante en fureur aprĂšs le Fuhrer, lâa fait reculer sur la solution T4 qui ce devait aussi dâĂ©radiquer tout les malades mentaux (et les vieux), comme quoi quand on veux on peut. Il faudra attendre 2001 pour que la France reconnaisse le statut de dĂ©portĂ© Ă ces rĂ©prouvĂ©s du systĂšme qui ont connues Bergen-Belsen pour les filles et Mauthausen, Neuengamme Dachau, Sachsenhausen, Buchenwald pour les garçons, et dans les annĂ©es 60 la police allemande faisait encore des descentes chez les cĂ©libataires soupçonnĂ©s de pratiques homosexuelles.
Pas en reste la France de 1946 monte le fichier des homosexuels (ceux qui ont Ă©chappĂ© aux Raffles prĂ©cĂ©dentes sans doute), officiellement fermĂ© en 1976 officieusement en 1982, comme dirait Edwige qui va payer lâardoise ? Tout ça paraĂźt-il en prĂ©paration de la loi de 1947 sur la fermeture des maisons closes.
Au Etat Unis une des descentes de trop au Stonewall-in un bar de New-york provoquera les Ă©meutes de Christopher street le 28.06.1969 initialisant la marche des fiertĂ©s connue en France et dâautres pays sous le nom de la « gay-pride », bien relayĂ©e par les mĂ©dia qui nâomette jamais les bon plans sur le minet dĂ©colorĂ©, les sĆurs du perpĂ©tuelle secours, et le motard village people .
Il est vrai que les camionneurs sont des femmes et le macho se pose toujours la question palestino-bretonne mais qui sera âElleâ ? A la reine, il est vilaine.
SâintĂ©grĂ© dans la sociĂ©tĂ© est un leitmotiv rĂ©curant des associations de lutte contre lâhomophobie, pas que la sociĂ©tĂ© sâintĂšgre dans lâhomophilie. DâoĂč le PACS compensateur de la tontine souvent Ă©ludĂ©. (utilisĂ© Ă 86% pour les hĂ©tĂ©rosâŠ). Mais que fait la S.P.A. (pas celle dâHugo ni de Grammond) puisque nous Ă©tions digne des Assises, le pĂšre François se rĂ©vĂšle mĂȘme au GoĂ»t bio un loup pour nous donner des noms dâoiseaux et nous traiter en chien. Dieu est mort ? (nietzche) le sage montre la lune et le fou regarde le doigtâŠ.mais que fait le beau chien ? Parce que en Ruth je ne veux pas faire le Booz, parce que en rut je ne veux pas faire le beau ? De toute façon, moi, jâattends le divorce homo pour ĂȘtre intĂ©grĂ©, jâinviterai un avocat au dessert.
Gode serve the Gouine « dĂ©livre nous du mĂąle.» olisbos la levrette sent le doigt. La levrette pour lâinfidĂšle aprĂšs avoir remuĂ© la queue Ă force de prendre des coups commence Ă mordre. Mais bon jâai assez abusĂ© de votre temps, plantons la tente sur le gazon maudit et partons nous coucher.
CAMPING
Dans notre village de tente, en France et dans le monde, quelques repaires :
- 1970 création de la L.G.B.T. (Lesbienne, Gay, Bi et Transsexuel)
- puis la JournĂ©e mondiale de lutte contre lâhomophobie fondĂ©e le 17 mai 2005 cĂ©lĂ©brĂ©e dans 60 pays,
- sos homophobie (tel :0810108135),
- le 15.06.2006 adoption par le parlement europĂ©en de sanction pour les Ă©tats ne luttant pas contre lâhomophobie et reconnaissance de la journĂ©e des fiertĂ©s,
- 26.03.2007 le principe de Yogyakarta prĂ©sentĂ© au conseil des droits de lâhomme,54 Ă©tats adhĂ©rents,
- 2008 sur proposition de la France dĂ©claration aux nation unis dâun texte sur lâorientation sexuel signĂ© par 67 pays.
lâhomosexualitĂ© est surtout une affaire personnelle, comme telle si elle nâinflux pas sur le comportement en tenue et en sociĂ©tĂ©, elle nâest matiĂšre Ă discutions, comme tout les mĂ©taux qui peuvent polluer nos atmosphĂšre, arrĂȘtons la culpabilitĂ© halieutique, que lâon aime les moules, la choucroute, ou les paysages landais, que lâon soit accĂ©lĂ©rateur, ou embrayage, voir frein, chacun est dans le mĂȘme vĂ©hicule. PĂ©dale de gauche, pĂ©dale de droite, pĂ©dale du centre, lâextrĂ©misme de tout bord cherchera pour faire embarder le char de lâĂ©tat Ă Ă©craser la pĂ©dale.
Ce qui doit nous intĂ©resser est la capacitĂ© de cĆur et de raisonnement de lâindividu, pas ce quâil met dans son lit, tant que câest humain, majeur et consentant, quâimporte sâ il flashe sur les brunes, les talons hauts, ou les moustachus. A tout prendre dĂ©ontologiquement il vaut mieux un homo fidĂšle quâun hĂ©tĂ©ro volage.
LâhomosexualitĂ© nâest pas un discriminant positif ou nĂ©gatif, et quoiquâen pensent certains nâest pas un critĂšre de recrutement.
Pourquoi tu ris Emmanuel dans le train qui te mĂšne Ă la mort ?
« les cons !!! Je suis rĂ©sistant ! Et de plus, ils ne se sont pas aperçu que jâĂ©tais Ă©galement juif-polonais, homo, franc-Maçon et syndicaliste !!!»
Personne ne voudrait engendrer de la chair Ă canon certains plus que dâautres.
N’en dĂ©plaise aux homophobes : Jâai dit.